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Pas de vidéos de spectacles.

J'ai choisi de faire du spectacle vivant parce qu'il est vivant.

De plus en plus, il faut des vidéos pour présenter son travail, je préfère la rencontre... je préfère attendre que vous ayez envie de venir voir le spectacle.

Pas dans l'air du temps, dans les outils du moment ? C'est vrai. Essayer autrement, c'est un chemin que je tente.

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Vous programmez et vous avez besoin de voir Requiem pour un smartphone ou Les murmures de l'eau ? Vous réunissez quelques collègues qui programment également et je viens jouer (aux frais de Bulles de Zinc).

Certaines personnes ont pris ce "risque", c'est tellement plus agréable qu'une vidéo.​

Ni réseaux sociaux...

Ni smartphone.

Je ne voulais pas de cet outil quand il est sorti, j'avais l’intuition d'une dépendance.  J'aime aussi cette idée que ralentir le temps n'est pas une si mauvaise idée dans nos société où tout va trop vite, où il faut être disponible et connecté.

On m'a presque convaincu d'en acheter un au moment même où j'allais à Kinshasa pour écrire Requiem pour un smartphone.

Profond paradoxe dans lequel je ne voulais pas rentrer.

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Je continue sans mais j'ai toujours mon vieux téléphone.​

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